Photo de Françoise Ferrari

Psychologue clinicienne et psychanalyste depuis plus de vingt ans, j’ai éprouvé le désir de me former à la pratique de la sophrologie, après l’avoir appliquée dans ma vie courante depuis de nombreuses années.

Je suis diplômée en sophrologie par l’école de sophrologie du Languedoc, faisant partie du réseau académie de sophrologie. Ce diplôme a été validé RNCP, « reconnaissance nationale des capacités professionnelles ».

Intégrer cette pratique à mon champs professionnel m’est apparu très complémentaire. Les personnes n’éprouvent pas toujours le désir, ou ne se sentent pas toujours prêtes à entreprendre une psychanalyse ou une psychothérapie ; parfois l’introspection à partir de la parole est difficile voire impossible. La médiation du corps peut alors constituer une porte d’entrée vers la découverte de soi ou juste permette de soulager un symptôme ou retrouver de la sérénité à plus court terme à partir d’un outil qu’elles pourront utiliser de manière autonome.

À l’inverse ce dispositif me permet parfois d’ouvrir une nouvelle fenêtre lors d’un travail psychothérapeutique.